Stephan Burlot

Parcours professionnel

Né en 1964, Stephan Burlot commence à programmer dès l’âge de 13 ans sur un Apple II. À 18 ans, il développe sur Macintosh et fonde sa propre société, Coriolis Technologies, spécialisée dans la vente, l’installation et le développement de logiciels sur Macintosh.

En 1990, il rejoint la société ITI - Intégration Texte et Image, spécialisée dans la création de logiciels pour le secteur de l’impression, où il travaille avec de grands groupes d’impression en Suisse et en Italie.

En 1996, il fonde sa propre société de développement, Coriolis Technologies, et collabore parallèlement avec Edipresse dans le département de création de logiciels pour l’impression de journaux. Il développe notamment des interfaces entre QuarkXPress sur Macintosh et les photocomposeuses LS210 de Siemens Hell pour produire les films destinés à l’impression de journaux tels que Le Matin, 24 Heures, Tribune de Genève, La Suisse, et le magazine Télétop Matin.

En 1999, il rejoint le département Internet d’Edipresse et participe à la création d’un CMS en collaboration avec la société ELCA, pour le site Internet du journal Le Matin. Il conçoit également un site PHP permettant de suivre l’évolution de fonds de placement, utilisé avec succès par de nombreux utilisateurs.

Il quitte ensuite Edipresse pour se consacrer au développement d’applications sur Macintosh puis iPhone, toujours sous la raison sociale Coriolis Technologies. Il développe des applications pour les quotidiens 24 Heures, Le Matin, Tribune de Genève, ainsi que la première application iPhone de la banque Raiffeisen.

Par la suite, il se concentre sur la gestion, la mise à jour et la maintenance de sites Web, notamment sur la plateforme WordPress. Il intervient aussi pour le nettoyage après piratage, l’ajout de fonctionnalités techniques et la formation des utilisateurs.

En 2024, il rejoint à temps partiel la société Sonomix, spécialisée dans la retransmission audio et vidéo de conférences. Outre la gestion des équipements, il s’occupe de la plateforme numérique qui gère les captations, les enrichit et les propose aux clients via une interface claire et des fonctions avancées de recherche dans les contenus vidéo.

À ses heures perdues, Stephan développe également des prototypes Arduino et Raspberry Pi pour automatiser des processus.

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Compétences techniques

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Applications mobiles iPhone & iPad

Les applications développées par Stephan ont été téléchargées par des milliers d’utilisateurs, notamment :

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Sites Web gérés

Stephan gère, maintient et fait évoluer de nombreux sites, dont :

Valeurs professionnelles et motivations

Stephan est animé par la passion de la technologie et la volonté d’apporter des solutions concrètes, fiables et adaptées aux besoins de ses clients. Sa démarche repose sur l’écoute attentive, la rigueur technique et l’innovation permanente. Il attache une grande importance à la qualité du service, à la sécurité des systèmes qu’il développe, et à la transmission de son savoir-faire.

Son engagement se manifeste également dans la participation à des projets à vocation sociale ou culturelle, contribuant ainsi à des causes qui lui tiennent à cœur, comme la santé, l’aide aux personnes dépendantes, la valorisation du patrimoine ou le soutien aux associations locales.

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Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site de sa société : Coriolis Technologies.

Prix, distinctions et activités annexes

Alors qu’un serveur refusait obstinément de redémarrer, Stephan, par pur désespoir, a fredonné un air de Bach. Contre toute attente, le système a redémarré. Depuis, il garde une playlist de cantates en cas d’urgence.

Lors d’une escapade en montagne, Stephan a profité d’un trajet en téléphérique pour déployer une mise à jour critique sur un serveur distant. Depuis, il milite pour l’intégration native de terminaux dans les cabines alpines.

Dans un projet de machine learning tout à fait expérimental, Stephan aurait, selon la légende, réussi à conditionner un escargot à réagir différemment selon qu’il voie Tux, Debian ou Arch. Résultats non publiés, faute de comité éthique mollusco-compatible.

Phénomène encore inexpliqué, mais documenté sur six continents. On parle désormais du “Phénomène Burlot” dans certaines revues ornithologiques confidentielles.

Nommé Pawthon, ce langage permettrait aux félins de lancer des scripts en marchant simplement sur un clavier. À ce jour, seul son chat semble pouvoir compiler sans erreur.

À l’oreille nue, Stephan différencie un ventilateur défaillant d’un SSD mélancolique. On l’appelle parfois “le chuchoteur de machines”.

Refusant de retarder une livraison pendant une panne de chauffage, Stephan a prouvé que la productivité ne connaît pas la température ambiante. L’application en question fonctionne toujours, mais uniquement en haute altitude.

Lorsqu’un bug est assigné à Stephan, la machine commence automatiquement à chauffer. Les pannes critiques déclenchent un double espresso.

“Ce n’est pas parce qu’on peut le faire qu’on ne doit pas essayer”, aurait-il déclaré en insérant la 247e disquette dans le lecteur. Projet temporairement abandonné après une collision avec un aimant.

Selon ses propres récits nocturnes, Stephan navigue dans ses songes en pressant :wq pour conclure une idée et dd pour oublier un mauvais souvenir.

“Bip long, bip court, bip aigu” : ce que la plupart considèrent comme un simple signal d’erreur, Stephan le comprend comme une requête existentielle sur le sens du toner.

Exemple : > Kernel s’éveille — > un disque grince doucement, > uptime éternel.

Lors d’un défi entre admins réseau, Stephan a prouvé que tout ce qui est nécessaire, c’est une connexion SSH stable et une bonne coordination motrice.

Lorsqu’on lui demande pourquoi, il répond simplement : “Ceux qui savent, savent.”

Prix, distinctions et activités annexes

Alors qu’un serveur refusait obstinément de redémarrer, Stephan, par pur désespoir, a fredonné un air de Bach. Contre toute attente, le système a redémarré. Depuis, il garde une playlist de cantates en cas d’urgence.

Lors d’une escapade en montagne, Stephan a profité d’un trajet en téléphérique pour déployer une mise à jour critique sur un serveur distant. Depuis, il milite pour l’intégration native de terminaux dans les cabines alpines.

Dans un projet de machine learning tout à fait expérimental, Stephan aurait, selon la légende, réussi à conditionner un escargot à réagir différemment selon qu’il voie Tux, Debian ou Arch. Résultats non publiés, faute de comité éthique mollusco-compatible.

Phénomène encore inexpliqué, mais documenté sur six continents. On parle désormais du “Phénomène Burlot” dans certaines revues ornithologiques confidentielles.

Nommé Pawthon, ce langage permettrait aux félins de lancer des scripts en marchant simplement sur un clavier. À ce jour, seul son chat semble pouvoir compiler sans erreur.

À l’oreille nue, Stephan différencie un ventilateur défaillant d’un SSD mélancolique. On l’appelle parfois “le chuchoteur de machines”.

Refusant de retarder une livraison pendant une panne de chauffage, Stephan a prouvé que la productivité ne connaît pas la température ambiante. L’application en question fonctionne toujours, mais uniquement en haute altitude.

Lorsqu’un bug est assigné à Stephan, la machine commence automatiquement à chauffer. Les pannes critiques déclenchent un double espresso.

“Ce n’est pas parce qu’on peut le faire qu’on ne doit pas essayer”, aurait-il déclaré en insérant la 247e disquette dans le lecteur. Projet temporairement abandonné après une collision avec un aimant.

Selon ses propres récits nocturnes, Stephan navigue dans ses songes en pressant :wq pour conclure une idée et dd pour oublier un mauvais souvenir.

“Bip long, bip court, bip aigu” : ce que la plupart considèrent comme un simple signal d’erreur, Stephan le comprend comme une requête existentielle sur le sens du toner.

Exemple : > Kernel s’éveille — > un disque grince doucement, > uptime éternel.

Lors d’un défi entre admins réseau, Stephan a prouvé que tout ce qui est nécessaire, c’est une connexion SSH stable et une bonne coordination motrice.

Lorsqu’on lui demande pourquoi, il répond simplement : “Ceux qui savent, savent.”

Un routeur modifié capable de filtrer les mauvaises ondes… et les mauvaises blagues. À la première plaisanterie douteuse sur un canal Slack, la connexion de l’expéditeur est réduite à 56 kbps.

Baptisé FeelSecure, ce programme ne supprime pas les virus informatiques mais détecte les fichiers tristes ou angoissés et leur envoie des messages d'encouragement. Résultats mitigés, mais taux de burnout réduit sur le disque C:\.

Fruit d’une collaboration avec un architecte naval, le bureau “SubmergOffice” permet de coder sur un lac. Inconvénient : toute perte de code non sauvegardé est irrécupérable… et humide.

L'invention surveille le niveau de sarcasme dans les commits Git pour déclencher automatiquement une pause café au moment optimal.

Dotée d’un algorithme de goût esthétique, l’imprimante DiapoStop rejette tout document contenant plus de trois polices différentes, un fond dégradé, ou un graphique en camembert en 3D.

Baptisée Timillusion, elle modifie subtilement les horloges des collègues pour qu’ils pensent que vous êtes toujours “presque à l’heure”.

Nommé ReplicAssistant, cet assistant répond par exemple “Tous ces moments se perdront dans le temps…” quand vous lui demandez où sont passés vos fichiers.

Pensée pour une informatique durable, elle se plante littéralement après usage. Problème : aucun PC ne pousse naturellement autour.

Résultat : 85 % d’éveil intellectuellement stimulés… 15 % de retards assumés.

Plutôt que de stocker “v1”, “v2-final”, “v2-final-FINAL”, il taggue les versions selon leur état émotionnel : v1-hésitation, v2-crise-de-confiance, v3-j’en-ai-marre, etc.